La deuxième phase appelée "S3"
La dernière phase
| La première phase appelée
"S1" La deuxième phase appelée "S3" La dernière phase |
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SPOT4 est mis en pièces pour pouvoir rentrer dans les différents conteneurs prévus pour le transport. D'autres conteneurs sont préparés pour transporter en Guyane les équipements nécessaires à l'assemblage et aux derniers tests (surtout de vérification du bon montage) sur le satellite.
Tout ceci représente un bagage de 70 tonnes dont environ une trentaine rien qu'en conteneurs et .... 2,8 tonnes de satellite.
Les containers sont transportés de l'aéroport de Toulouse-Blagnac à celui de Cayenne-Rochambeau par un avion gros porteur Antonov 124 plein et une partie par un charter habituel.
De nuit, à Cayenne, les conteneurs sont déchargés et transférés en convoi exceptionnel jusqu'à Kourou, au Centre Spatial Guyanais.
La campagne de lancement dure 37 jours et se compose de trois phases qui se déroulent sur trois sites différents de la base spatiale et selon un calendrier rigoureux.
Son nom vient du fait qu'elle se déroule au bâtiment S1B de l'Ensemble de Préparation des Charges Utiles d'Arianespace. Elle regroupe les activités d'assemblage mécanique et de tests électriques du satellite.
Pendant la durée de ces opérations, les réservoirs et moteurs sont préparés dans les bâtiments S2 et S4. Ils rejoindront le reste plus tard.
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Son
nom vient du fait qu'elle se déroule au bâtiment S3B. Elle concerne les activités de
remplissage et pressurisation des réservoirs du satellite, ainsi que l'assemblage du
satellite sur les éléments de maintien sur le lanceur et enfin, l'encapsulation du
composite : satellite + coiffe.
Durant cette phase le lanceur est auprès de sa tour, sur le site de lancement. En attendant le satellite, il subit ses derniers tests.
Elle se déroule sur la Zone de Lancement à l'extrémité d'ELA2. Lors de cette phase finale, le composite (satellite + coiffe) est transféré sur le site de lancement et installé en haut du lanceur et on procède alors aux derniers essais avant lancement (tests électriques, répétition de la chronologie) et à l'armement des circuits pyrotechniques.
Tout est alors prêt pour le tir. Tout le matériel qui reste sur Terre (environ 65 tonnes) est reconditionné pour le retour en métropole par mer sur le Toucan.
page mise à jour le 06 June 2000
